« Tu aimeras ton prochain comme toi-même »
Matthieu 22:39
Il y a de principes éthiques (1) qui
sont classés comme «de base» reliés à une personne et à un groupe social. Parmi
ceux-ci, nous pouvons nommer:
Principe d'autonomie: signifie que toute personne adulte et mentalement saine est morale (elle fait distinction entre le Bien et le Mal) dont a le droit de déterminer et de mener sa vie par lui - même, de la façon dont il le juge opportun, sans être privée de vivre une vie plaine et autodéterminée. Seule la personne se connait intimement donc c'est à elle de juger sur sa condition, sa situation, ses capacités, ses limites, sa puissance et ses potentialités à développer. Ce principe permet de faire des choix éclairés.
Principe
d’égalité: stipule que tous les hommes sont égaux, que tous avons les
mêmes droits et nous avons les mêmes obligations. Ainsi, nous conformons
une famille humaine. L'axiome Kantien: «Ne
fais pas aux autres ce que vous ne voulez pas que d'autres vous
fassent» dit stricte réciprocité dans les relations
humaines. Elle exige une façon de penser et de vivre. Il
est opposé à la discrimination par la religion, la langue, le sexe,
l’origine ethnique-cultural(2),
l'orientation sexuelle, le handicap, l'âge, la race (3).
La discrimination a par objectif annuler et réduire le mérite, la jouissance, l’exercice de droits et de libertés fondamentales des personnes en les sphères politique, économique, sociale et culturale.
Principe d’humanisation: précise que chaque être humain doit vivre, agir et promouvoir les valeurs humaines telles que la liberté, la conscience, le sens social ou la responsabilité. Ce principe nous appelle à devenir de jour en jour plus humain, à devenir une personne, en nous éloignant de l'homme naturel (égoïste et orgueilleux) et animal (soumis 'a ses pulsions et instincts primaires).
La discrimination a par objectif annuler et réduire le mérite, la jouissance, l’exercice de droits et de libertés fondamentales des personnes en les sphères politique, économique, sociale et culturale.
Principe d’humanisation: précise que chaque être humain doit vivre, agir et promouvoir les valeurs humaines telles que la liberté, la conscience, le sens social ou la responsabilité. Ce principe nous appelle à devenir de jour en jour plus humain, à devenir une personne, en nous éloignant de l'homme naturel (égoïste et orgueilleux) et animal (soumis 'a ses pulsions et instincts primaires).
La solidarité donne du sens et d'un but 'a
l'humanité: elle est dirigée immédiatement au service des autres. «Chaque
personne doit contribuer au bien commun en fonction de leurs moyens. Tout
individu a le droit de recevoir des autres tout
ce qu'il a besoin pour vivre et se développer et si pour quelques raisons, il
ne peut pas les acquérir par soi-même» exprime ce magnanime principe. Ce droit
implique un devoir que, selon le cas, se tourne
vers les parents, la famille, les associations intermédiaires et
enfin, 'a l'État.
Ainsi, une personne démunie, qui a un besoin insatisfait
lequel ne peut pas satisfaire par une limitation quelconque, un entrave 'a sa
volonté ou par manque de ressources personnelles, a le droit d’être assistée par
les organisations de l’État. Si la personne est privée de cet aide, c’est le système
qu’en profite de la personne.
Ce principe de solidarité contient le devoir de
faire justice, de participation, de liberté et d'équité. Chaque personne contribue avec sa
capacité réelle par son travail, sa connaissance, le respect des normes
civiles, sa contribution économique par le biais des impôts, par la recherche
et la promotion du bien dirigé vers la nature, l'environnement, ainsi que vers autrui.
Il en comprend non seulement l'obligation
de répondre aux besoins de tous sinon qu'implique le devoir d’améliorer les
conditions de vie de toute la société.
Le principe de subsidiarité essaye d'équilibrer les relations inégales personne-personne, personne-société, personne et État. Évidemment, en ces stratifications il y a différences des capacités, des compétences et un besoin de complémentarité. Ce principe prône pour une intervention complémentaire et auxiliaire entre les organisations sociales à faveur de l'autonomie des personnes et de l'autosuffisance en forme ascendante.
L’État et les organisations intermédiaires
accordent à l'homme la faculté d'être son propre agente de développement,
ainsi qu'un agent de changement citoyen pour faire progresser,
en définitive, le collectif nationale. Reconnait la liberté, la
dignité et la responsabilité individuelle, sans oublier sa propre
responsabilité vers les citoyens.
Logiquement,
la personne est soutenue et reconnue en tous ses droits par l'État et
par tout groupe social. L'homme ne devrait pas souffert d’atrophie
ni d'esclavage par la société ni par ses systèmes.
Tout État, système ou groupe totalitaire niera ce principe et essayera de maintenir son hégémonie en annulant les compétences citoyennes individuelles pour décider par soi-même.
Tout État, système ou groupe totalitaire niera ce principe et essayera de maintenir son hégémonie en annulant les compétences citoyennes individuelles pour décider par soi-même.
Ces groupes
se visionnent comme des autorités médiévales qui ont
le pouvoir pour commander, penser, décider et faire en toute impunité
asymétriquement (protégés par ses relations macabres fondées en anciennes
racines sociales ) et toutes les autres personnes membres de la
société doivent les obéir sans se poser aucun questionnement.
Ces groupes en font selon sa tête sans prêter aucune oreille. Ils réalisent
un faux diagnostique situationnel, c'est-'a-dire que délibérément tergiversent la
réalité parce que celle-ci les déplaise et elle joue à l'encontre de leurs
intérêts.
Cette attitude-ci
méprise la dignité personnelle et diminue ou annule les droits
civiles, les droits humains et suffoque la voix citoyenne.
Les subalternes tombent sur l'oppression et le discrédit,
entre autres stratégies propres du désamour. C’est ce désamour qui crée
une société des aveugles et sourdes qui s’érigent
pour diriger à population qui doit se conduire
mouette.
L’égoïsme,
la jalousie, la peur, l'orgueil sont la mère de l'immoralité. Celle-ci
empêche l'avancent réel de la société. Ainsi, la misère (matérielle,
spirituelle, culturelle, humaine), l’exclusion des personnes de systèmes 'a
mains d'individus, l'ignorance, la maladie, la toxicomanie, la discrimination y
résultent, le tout mis sous silence de la population, la que devienne
vulnérable, incarne l’angoisse, l'anxiété, la frustration par les grand nombre
d'injustes impositions.
Le diagnostique réel matériel, économique, sociale, culturale et de santé de base sont essentielles pour déterminer s'il y a ou pas jouissance des droits humains en la vie quotidienne (4).
Tous ces principes fondent 'a la démocratie et sont pressentes dans le Droit et dans l'Éthique sociale avec retombée sur la Déontologie professionnelle. Ils s’opposent 'a l'aristocratie, au despotisme autoritaire, 'a la subordination et 'a l'oppression pour la part de groupes élitistes qui détriment le bien individuel, le bien commun sociale et la culture de la participation citoyenne et individuelle en chaque situation que la concerne (Principe de consentement).
Le diagnostique réel matériel, économique, sociale, culturale et de santé de base sont essentielles pour déterminer s'il y a ou pas jouissance des droits humains en la vie quotidienne (4).
Tous ces principes fondent 'a la démocratie et sont pressentes dans le Droit et dans l'Éthique sociale avec retombée sur la Déontologie professionnelle. Ils s’opposent 'a l'aristocratie, au despotisme autoritaire, 'a la subordination et 'a l'oppression pour la part de groupes élitistes qui détriment le bien individuel, le bien commun sociale et la culture de la participation citoyenne et individuelle en chaque situation que la concerne (Principe de consentement).
Tous
les hommes ont de principes pour se guider mais ceux-ci ne sont pas toujours
éthiques. Il est bon par chacun entre nous de méditer autour de
tout ceci et faire une prise de conscience,
en essayant d’identifier si nous sommes éthiques ou immoraux et ses
conséquences directes sur notre vie, sur la d’autrui et sur
la société.
Il semble facile
d'exprimer quelques principes éthiques courants : «respecter tous les êtres
humains», «ne pas utiliser la violence», «aider les personnes dans le besoin»
mais il n'est pas facile de se comporter en suivant ce discours.
Par
cet examen de conscience individuel et collectif, chaque être humain et chaque
société est capable de déterminer ce qui est nuisible pour lui et pour la
société.
En
conséquence, il est possible d'éviter tout que soit immoral, c'est-'a-dire tout
ce qui va à l'encontre de no malice, de la charité, de la bienfaisance, de la
justice, de l'autonomie, de la paix.
L’expérience personnelle, la familiale, la groupale
et l'historique nationale et internationale nous aident en cette
nécessaire prise de conscience pour ne pas répéter des tristes événements,
de nous trouver en situations conflictuels, d’attirer sur nous des issus
négatifs. C'est bien l'histoire qui nous fait un compte rendu sur l'orgueil,
l’égoïsme, l'immoralité des hommes, l'amour pour le pouvoir et l'argent
avec ses conséquences dévastatrices sur la vie humaine et de la planète.
La
violation aux principes éthiques attire comme conséquence médiate le malheur,
ainsi que d'autres sanctions selon le principe désobéit. Suivant une analyse,
on peut constater que les principes éthiques s'appuient en une ou plusieurs
lois spirituelles ou religieuses, si vous souhaitez les appeler ainsi. Lorsque
le principe éthique coïncide avec une loi (norme prescriptive juridique née
d'une autorité légitime), on commet un crime conduisant à une sanction légale.
Par tout ceci, l'importance d'une prise de conscience fondée sur l'accès 'a
l’information et 'a l'éducation, 'a la divulgation et 'a la dénonciation, tous
de devoirs citoyennes. L'homme est le produit de son éducation.
Notes
(1) Les principes sont caractérisés par l'absoluité de leurs revendications, l'universalité de sa validité et de l' immutabilité de son contenu (Garcia de Alba, Juan Manuel. Éthique professionnelle, pp 179-180).
(2) Traitement différencié, excluant et restrictif fondé sur les mœurs, habitudes, coutumes, habillement, symbologie, style de vie, sens de l' appartenance, idiome, accent et croyances.
(3) Couleur de la peau, traits physionomiques faciales, taille, poids, couleur de cheveux, couleur de yeux.
(4) Boleso, Héctor Hugo. (2005). Protecciòn internacional de los derechos humanos. Revista Derecho y cambio social numero 04. Récupéré 11-03-16 http://www.derechoycambiosocial.com/revista004/CARATULA.htm
(2) Traitement différencié, excluant et restrictif fondé sur les mœurs, habitudes, coutumes, habillement, symbologie, style de vie, sens de l' appartenance, idiome, accent et croyances.
(3) Couleur de la peau, traits physionomiques faciales, taille, poids, couleur de cheveux, couleur de yeux.
(4) Boleso, Héctor Hugo. (2005). Protecciòn internacional de los derechos humanos. Revista Derecho y cambio social numero 04. Récupéré 11-03-16 http://www.derechoycambiosocial.com/revista004/CARATULA.htm
Bibliographie consulté
Ahlert, Alvori.( 2007). Ética y derechos humanos: principios educaioinales para una sociedad democràtica. Revista Polis. Récupéré 11-03-16 https://polis.revues.org/4663#authors
Dhondt, Urbain. (1961). Fondements d'une éthique sociale. Revue philosophique de Louvain. Récupéré 11-03-16 http://www.persee.fr/doc/phlou_0035-3841_1961_num_59_63_5086
Pastor-Palomar, Nuria. (2006). El principio de subsidiariedad y su incidencia en el respeto de los Derechos Fundamentales por la Uniòn Europea. Universidad de Navarra. Récupéré -03-16 http://dadun.unav.edu/bitstream/10171/23554/1/ADI_XXII_2006_14.pdf
Urbina Molfino, Francisco Javier. (2005). El principio de subsidiariedad,sus fundamentos y su funcion en la sociedad democrática. `Revista de Derecho y de Humanidades. Récupéré 11-03-16 http://www.derechoyhumanidades.uchile.cl/index.php/RDH/article/download/17070/17796.
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